" Moins je pense, mieux je suis"
C'est agir face à nos pensées inutiles, en boucles,
celles que l'on ne contrôle plus et qui rongent l'esprit.

Conférence en images, extrait…voir aussi Motimagines pour la méthodologie / Ateliers

Pour toute demande d’intervention, motimagines@gmail.com

Méthodologie voir Motimagines 

Qu’en est-il ?

Quelle que soit notre situation se pose aujourd’hui la question du sens. Comprendre sa pensée, c’est reconnaître ses choix, les assumer tout en agissant en parfaite adéquation avec le monde qui nous entoure.

Toutes nos actions sont le fruit de notre mode de pensée. Avec « Moins je pense, mieux je suis » il est question d’en comprendre les mécanismes et les habitudes. 

De la même façon qu’une nourriture saine garde le corps en bonne santé nous sommes ignorants des nourritures de la pensée et il nous est difficile de croire que le respect, la bienveillance, la joie sont en lien avec la connaissance et l’épanouissement de notre intériorité. C’est ce que vous propose de découvrir « Moins je pense, mieux je suis ». Il s’agit surtout de comprendre que cette évolution est possible.

Les exercices proposés tiennent comptent de ce temps après lequel chacun court jusqu’à épuisement, ils sont simples et rapides. Sans jugement ni évaluation, en apprenant à nous observer, en créant de l’espace dans nos pensées, nous évoluons avec plus de lucidité.

Dans quel état gère ?

Extrait

De nos jours, l’esprit humain est sollicité en permanence par ce qui se passe à l’extérieur, soumis à un flot d’information en continu. Nos vies portent en elles l’empreinte du changement, tout bouge, tout évolue dans un temps record. Un bouleversement qui s’intéresse à bien des domaines (personnel, professionnel, technologique, environnemental…) et qui ont comme dénominateur commun l’individu et sa capacité de compréhension, l’individu et sa capacité d’adaptation.

De plus en plus de personnes avouent être en proie à des émotions incontrôlables, des interrogations chroniques, éprouvent un sentiment diffus qui engendre une démotivation, un contact relationnel complexe, une perte de repères personnels et collectifs.

Cependant, nous sommes devenus des penseurs compulsifs et cette incapacité à s’arrêter de penser intervient comme un filtre à nous-mêmes, projetant une ombre de peur et de souffrance dans la sphère de nos compétences.

 Le calme intérieur, source de connaissance, est évincé par cet incessant bruit du mental.

Notre façon d’appréhender l’environnement tient dans la construction de croyances qui drainent des stéréotypes de pensées. Nous nous faisons fort de croire en des attitudes qui entravent pourtant tout épanouissement, laissant choir alors, l’idée de notre propre responsabilité. Nous ne pouvons pas nous fuir, nous abolir nous-mêmes, car ce déni engendre la désolation.

Nous recherchons tous une qualité de vie, un espace d’action empli de bonheur et de paix, au plus proche de nos aspirations. Ce postulat de base est propre à notre nature, mais nos préjugés sclérosent en chacun de nous des concepts, des jugements, des habitudes qui empêchent toute vraie réalisation.

Nous sommes si souvent dans la théorie que l’on ne regarde plus le présent tel qu’il est. On ne regarde plus l’autre tel qu’il est. Nous extrapolons à partir de l’idée que l’on a d’une situation et non de la situation elle-même.

En nous définissant en tant qu’être vivant individualiste le cerveau tend vers des processus dysfonctionnels. Ce simulacre de division nous place dans une dualité créant une confusion. A contrario, les compétences alliées à la reconnaissance favorisent la qualité de l’expérience, le sentiment de réussite et encouragent le cerveau humain à se connecter aux autres. Dans ces cycles se manifestent la bienveillance, la clarté d’esprit, la fidélité et la réalisation individuelle et collective en vue d’objectifs précis.

Au-delà de l’instabilité de nos pensées qui vont et viennent au gré des désirs extérieurs, il y a dans la découverte de notre intériorité ce quelque chose d’authentique, de durable, cette question du sens qui nous offre la capacité d’être au monde et de s’acquitter de son travail de façon responsable.

Il ne s’agit plus d’apprendre hors de soi-même, de considérer toute chose depuis le mental mais d’être dans la maîtrise de celui-ci, pour que chacun redevienne le maître de ses pensées et de ses choix.

Par une observation consciente, il nous est possible d’améliorer ce monde complexe qui, chaque jour, nous met au défi et à l’épreuve. Nous pouvons évoluer. La plasticité cérébrale porte atteinte aux sentiments de fatalités, puisqu’elle désigne la capacité permanente du cerveau à modifier son architecture.  

Il s’agit d’accorder nos souhaits à nos réalisations pour donner un sens plus profond à ce que nous faisons. Il s’agit surtout de comprendre que cela est possible. 

Conférence en images extrait… « La Covid dans tous ses états » en images

La Covid dans tous ses états, présentation en texte

La pandémie actuelle bouscule profondément nos émotions.

La nécessité de donner un sens à ce qui arrive, le comprendre, sans jugement, est vital pour réussir à retrouver un équilibre et trouver une ligne de conduite permettant de vivre au mieux ce bouleversement.

Cet outil s’adresse à tous, à titre personnel, lors de séance individuelle, ou collectif, sous forme d’ateliers de groupe, mais aussi aux enfants ceux-là mêmes qui bâtiront le monde de demain, et ont tellement de choses à dire, à nous dire.

La création d’un dessin par jour, réalisé tout au long de ce confinement et racontant sous un angle humoristique notre quotidien, sert de point de départ pour commencer notre travail.

Agissant comme un fil conducteur, ces images servent de base pour permettre à chacun d’exprimer son ressenti sur cette expérience vécue à la fois collectivement, mais par chacun, plus ou moins, isolément.